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Comment arrêter avec amour les crises de colère des tout-petits
Voici une méthode efficace pour arrêter avec amour la plupart des crises de colère des tout-petits... en moins d'une minute.

Écrit par
Dr. Harvey Karp

Les crises de colère sont l'une des parties les plus problématiques de la petite enfance. Heureusement, il existe une manière efficace d'arrêter la plupart des crises de colère des tout-petits... en moins d'une minute ! Pour ceux qui sont familiers avec certaines techniques du 'Happiest Toddler' (en particulier le Toddler-ese et la Règle du Fast-Food), ces compétences pour apprivoiser les crises devraient sembler assez familières. Elles sont aussi proches d'une baguette magique que vous pourrez jamais trouver !
Comment arrêter une crise de colère :
1. Connectez-vous avec respect.
Lorsque votre tout-petit commence à perdre son calme, la première chose à faire est de créer un lien avec respect. Accroupissez-vous à sa hauteur et reflétez une partie de ses émotions en utilisant la Règle du Fast-Food et le langage des tout-petits. (N'oubliez pas de répéter leurs sentiments avec environ un tiers de votre ton de voix et de vos gestes pour atteindre le point sensible de votre enfant.) Pratiquez cela plusieurs fois lors de petites éruptions avant de l'essayer lors d'une grande crise. Étonnamment, au moins 50 % du temps, cette simple étape suffit à elle seule pour apaiser les crises de colère en quelques secondes.
Les parents qui répondent en exprimant immédiatement leur point de vue d'adulte ou en distrayant l'enfant sont comme des employés de restauration rapide impatients qui passent directement à leur message (« Ça fera 5 dollars ») sans répéter la commande. C'est pourquoi répondre aux pleurnicheries de votre enfant de 2 ans qui réclame un biscuit avant le repas en énonçant ses sentiments (« Biscuit ! Biscuit ! Tu veux un biscuit ! Tu veux un biscuit, maintenant ! ») provoque moins de pleurs que de passer directement à votre message, « Non, chéri. Pas de biscuits avant le dîner ! »)
2. Donnez votre message.
Une fois que votre enfant commence à se calmer, c'est à votre tour de transmettre un message (« Mais nooon, chéri. Tu connais la règle : Les biscuits, c'est après le dîner. »).
3. Proposer une distraction ou un compromis gagnant-gagnant.
Après avoir transmis votre message, vous pouvez encourager votre enfant à être encore plus coopératif à l'avenir si vous prenez un moment pour nourrir son compteur avec un peu de distraction ou un compromis gagnant-gagnant.
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